lundi 29 septembre 2014

Journée mondiale du tourisme: RDC?


La Journée Mondiale du Tourisme a été célébrée à partir de 1980, à l'initiative de l'OMT (organisation mondiale du tourisme).
C'est la date du 27 septembre qui a été retenue pour marquer l'anniversaire de l'adoption des statuts de l'OMT en 1970.
Pourquoi une Journée Mondiale du tourisme ?
L'objectif principal fixé par l'OMT est la prise de conscience de l'importance du tourisme du point de vue social, culturel, économique et même politique.
Dans de nombreuses régions du globe, le tourisme arrive en tête des activités économiques, avec ses répercussions sur l'emploi, le brassage des populations, l'ouverture au monde et la circulation de l'information...
Le tourisme et ses travers (urbanisation anarchique, tourisme sexuel, ...) font malheureusement souvent la une de l'actualité et ce n'est pas sans raisons que la journée du 2 juin est consacrée au tourisme responsable et respectueux !


Un site à visiter : www.unwto.org

La RDC a toute les potentialites  de gagner de l'argent dans le cadre du tourisme?
Que pensent nos autorites face a cette situation? Le Rwanda gagne chaque fois 1 000 000 dollars par dans le tourisme. Pourquoi pas nous?

Fleuve CONGO au niveau de KISANGANI.

samedi 27 septembre 2014

SCIENCE ET CONSCIENCE: sur Kivu1. La Radio de Goma sur le 88.6 FM.

Dans notre émission science et conscience du Vendredi 26 septembre 2014, nous avons reçu le Prof. Dr. Kennedy KIHANGI BINDU/LLD qui nous a parle du Droit International sur Kivu1.
Secrétaire Général Administratif de l'ULPGL/Vice Recteur et Coordonateur du Centre de Recherche CREDDA/ULPGL Goma.


Vous pouvez nous suivre en direct sur : <www.radiokivu1.org >, chaque Vendredi soir de 18h30’ a 20h30’.



Les Nations Unies et la consolidation d’un Etat de droit Démocratique en République Democratique du Congo
Par Prof Dr Kennedy Kihangi Bindu/LLD[*]
Abstract :
Cinq décennies après l’accession à l’indépendance, la situation socio - politique en République Démocratique du Congo (RDC) demeure d’une complexité majeure. Les conflits armés à répétitions étouffent toute initiative de développement. Toutes les tentatives de protection et de promotion des droits humains accouchent d’une souris suite à la mauvaise gouvernance et à l’absence de l’autorité de l’Etat dans certaines parties du pays. L’arrivée de la MONUC/MONUSCO sur invitation du gouvernement Congolais a été et demeure salutaire à plusieurs égards notamment sa participation active aux élections présidentielles et législatives de 2006 et le renforcement du système judiciaire Congolais. D’aucuns considèrent que le succès des élections présidentielles et législatives de novembre 2011 dépendait aussi largement de l’action de la MONUSCO à plusieurs niveaux. Malgré le succès enregistré de la MONUC/MONUSCO dans sa mission, des ONGs locales n’ont cessé de décrier les comportements de certains contingents accusés des violences sexuelles et impliqués dans l’exploitation des minerais à l’Est de la RDC. Certes, pour que la démocratie soit une réalité en RDC, la présence de la MONUSCO s’avère nécessaire mais le Congo doit désormais quitter sa situation d’un « Etat en faillite » et donner à sa population la chance de rêver d’un lendemain meilleur.
Article publié par la revue de droit international Meritum (Bresil)
Meritum – Belo Horizonte – v.7 – n. 1 – p. 111 – 154 – janv/juin 2012.




[*] Prof Dr Kennedy KIHANGI BINDU/LLD, SGAD/Vice Recteur en charge en charge de l’Administration à l’Université Libre des Pays des Grands Lacs (ULPGL/Goma), Coordinateur au Centre de Recherche sur la Démocratie et le Développement en Afrique, CREDDA/ULPGL, Professeurs des universités, Membre du Corps Scientifique Editorial de la Revue de droit international Meritum de Universidade Fumec à Belo Horizonte au Brésil, auteurs de plusieurs ouvrages et articles, www.credda-ulpgl.org, Email : kenedybindu@credda-ulpgl.org

Sur: 

vendredi 26 septembre 2014

BANQUE CENTRALE CONGOLAISE: RDC.

La Banque Centrale de la RDC a pris une mesure depuis hier 25 septembre qui stipule que: < Desormais tout Congolais ou Etranger  ne peuvent plus circuler avec un montant depassant plus de 10 000 dollars americain>. En traversant la frontiere. Toute personne qui sera attrape, payera comme amender la moitie ou le cinquante pourcent.
Et sut toute l'etendu de la RDC, on doit desormais utiliser les francs congolais.
Est ce que la mesure sera respecte?

jeudi 25 septembre 2014

RDC: Accord Cadre d'Addis Abeba.

Le secretaire executif de la CIRGL (Conference Internationale sur la Region des Grands Lacs) le professeur Alphonse TUMBA LWABA a dit depuis New-York que le travail d'evaluation se tiendra a Kinshasa au debut du mois d'octobre 2014.
Rene ABANDI le coordonateur du M23 sur les questions de mecanismes de suivis sera aussi invite a ce travail d'evaluation.


Ce travail d'evaluation vient d'etre annonce apres la reunion du 22 septembre 2014 a New-York:

Raymond Tshibanda, le Ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo (RDC) fournit des explications sur les effets positifs dans son pays, plus d’un an après la signature le 24 février 2013 à Addis-Abeba, en Ethiopie, de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région.
La quatrième réunion de haut niveau du Mécanisme régional de suivi de l'Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo (RDC) et la région a eu lieu lundi 22 septembre à New York.
 Les participants ont examiné l'évolution de la situation politique et sécuritaire dans la région ainsi que le rapport d'étape sur la mise en œuvre du Plan d'action régional. Les participants ont réaffirmé que cet Accord-cadre reste un mécanisme viable et efficace pour parvenir à une paix durable et à la stabilité en République démocratique du Congo (RDC) et dans la région, et ont renouvelé leur engagement en faveur de sa mise en œuvre.
 La Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIRGL) ont participé aux délibérations.
 Cette réunion s'est déroulée en présence des chefs d'Etat, ou de leurs représentants, tels que Robert Mugabe du Zimbabwe, qui est le président en exercice de la SADC; Dos Santos de l'Angola, président en exercice de la CIRGL était représenté par son ministre des Affaires étrangères; Joseph Kabila de la RDC; Jacob Zuma de l'Afrique du sud; et Museveni de l'Ouganda.
 L'Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo et la région, signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba, énonce des engagements clés au niveau national, régional et international, afin de mettre un terme aux cycles récurrents de violence dans l'Est de la RDC.
Cet Accord énonce des engagements clés au niveau national, régional et international, afin de mettre un terme aux cycles récurrents de violence dans l’Est de la RDC.
(Interview : Raymond Tshibanda, Ministre des Affaires étrangères de la République démocratique du Congo; propos recueillis par Jean-Pierre Amisi Ramazani)

 http://www.unmultimedia.org/radio/french/2014/09/rdc-les-effets-positifs-de-laccord-cadre-pour-la-paix-la-securite-et-la-cooperation/#.VCQhjHTuxcc

 
Mais je me pose la question de savoir si l'accord cadre d'Addis ABEBA est il un traite? sur le plan international?
A vous de repondre.....?

mardi 23 septembre 2014

RDC.......

Joseph KABILA au 69 eme sommet des Nations Unies.

Le Président Joseph Kabila à la 69ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York
Kinshasa, 22/09/2014 / Politique
Le Chef de l’Etat Joseph Kabila représente personnellement la RDC à la 69ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York où il est arrivé dimanche pour prendre activement part aux assises des hautes retrouvailles des dirigeants de ce monde ayant placé leurs travaux sous le thème « la relance des objectifs du millénaire pour le développement »
La République démocratique du Congo est représentée à la 69ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies au plus haut sommet de l’Etat en la personne du Président de la République, Joseph Kabila Kabange qui effectue à cet effet le déplacement de New York où il est arrivé dimanche à 23h45’ locales, soit 4h45’ heure de Kinshasa.
 
La rencontre de New York qui se tiendra du 23 au 27 septembre 2014 accueillera de nombreux Chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que plusieurs hautes personnalités représentant le système des Nations Unies venues des cinq continents. Elle aura pour thème principal : « la relance des objectifs du millénaire pour le développement ».
 
Au programme de ces assises  il est prévu, sauf changement au programme, deux interventions du Président Joseph Kabila Kabange. D’abord en date du 22 septembre 2014 le Président de la RDC fera une communication du haut de la tribune de la 69ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations Unies en plénière I du sommet sur le climat, pour revenir ensuite le jeudi 25 septembre 2014 faire entendre fort la voix de la République démocratique du Congo
 
Le Président Joseph Kabila assistera également, toujours selon le programme ; à la quatrième réunion de haut niveau du mécanisme régional de suivi de l’Accord cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la République démocratique du Congo et la région des Grands Lacs. A l’issue de ces séances de travail, le dirigeant congolais s’entretiendra en tête-à-tête avec le Secrétaire général des nations Unies, M. Ban Ki Moon.
 
Il est également prévu ; en marge des travaux de la 69 ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies ; un déjeuner de travail en l’honneur des Chefs d’Etat africains et de gouvernement sous le thème : »Mobiliser les capitaux d’investissements intérieurs pour stimuler les investissements intra-africains dans les infrastructures et l’intégration économique régionale.» Le Président Joseph Kabila marquera sa présence à cette rencontre en tant qu’invité d’honneur du Conseiller spécial pour l’Afrique du Secrétaire général des Nations unies.
 
Plusieurs réceptions figurent également au programme en marge de ces assises ; notamment celles offertes séparément  par le Président des Etats Unis Barak Obama et le secrétaire général des Nations unies Ban Ki Moon en l’honneur des Chefs d’Etat et de gouvernement présents à la 69ème session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies.

MMC/ACP



SCIENCE ET CONSCIENCE: Une émission de Radio Kivu1.

Dans notre émission d'aujourd'hui, nous avons reçu le C.T Joseph KYAKIMWA MULERE.

DOCUMENTAIRE BIOGRAPHIQUE DU
CT KYAKIMWA MULERE JOSEPH

I.              IDENTITES

Nom  et  post  nom : KYAKIMWA  MULERE  Joseph
Lieu et  date de  naissance :  Lusando (Butembo), le  02/05/1974
Etat civil : Marié à KAHAMBU VITAMUYI Henriette et Père  de 4   enfants             
Nom du Père                       : KAMBALE Mbondi Zakarie
Nom de  la Mère                  : KATUNGU  MELANI
Résidence                            : Q. MABANGA NORD, Av Itebero, n°165
Tél                                           : 0997132913, 0822144052

II.            MES  PUBLICATIONS  SCIENTIFIQUES

·         La  Gestion  et contrôle de la terre par la femme ‘’ YIRA’’ en territoire de
 Lubero, article publié dans  la revue CERPRU/ISDR. BUKAVU. N°20 series B, 2010

·         L’exploitation  minière et  son  incidence  sur la  sécurité alimentaire de la population  de walikale , article publié dans  la revue CERPRU/ISDR. BUKAVU. N°20 series B, 2010

·         L’exploitation commerciale des  services postaux  en RDC une analyse financière sur l’ OCPT Nord  Kivu » 2003-2006 , article publié dans  la revue CERPRU/ISDR. BUKAVU. N°20 série B, 2010

·         Problématique  d’encadrement des femmes portefaix  en milieux urbains congolais: « problèmes et perspectives »  cas de la ville de Goma, article publié dans  la revue CERPRU/ISDR. BUKAVU. N°20 série B, 2010

·         Les  assurances dans les milieux urbains et leurs contraintes à la  souscription, cas des Assurances-vie dans  la ville de Butembo, TFC inédit,
         Université Catholique du Graben, 1998-1999.

·          Analyse socio-économique  de la contribution des petites entreprises au développement local en RDC, cas de la ville de Butembo, Mémoire de Licence en  Sciences économiques, option  Gestion financière, inédit, UCG –Butembo 2000-2001.

III.           Memoire de  DEA




ANALYSE DE LA REINSERTION SOCIO-ECONOMIQUE  DES FEMMES VIOLEES EN PROVINCE DU  SUD KIVU :
Regard sur les Forces, faiblisses, opportunités  et menaces  des AGR de réinsertion « FFOM »

Le  problème  d’analyse  était  centré  sur les questions suivantes :
-      Sont – ils efficaces les projets pour la réinsertion socio-économique des femmes victimes des violences sexuelles dans la province du Sud – Kivu ?
-      Les Activités Génératrices des Revenus mises en place sont – elles suffisantes pour permettre la réinsertion socio économique des femmes victimes des violences sexuelles ?


Objectif de l’Etude


L’objectif de notre étude était d’évaluer l’efficacité des projets qui étaient mises en place dans la province du SUD KIVU en faveur des victimes des violences sexuelles pour leur réinsertion socio-économique.

C’était donc de comprendre les enchaînements logiques de ces projets, les mécanismes de réinsertion sociale et la nature des Activités Génératrices des Revenus animées par les femmes  victimes des violences sexuelles.

 C’était aussi pour comprendre les expériences des acteurs et des survivants des violences sexuelles et ce qu’ils interprétaient des ces projets. La finalité était de porter un regard critique et de tirer des enseignements pour la suite.

L’analyse FFOM  nous  permet de proposer   un plan  stratégique d’abord  au niveau des intervenants (ALE)  en suite  au bailleurs des fonds et  finalement  aux victimes elles-mêmes dans le  but  de corriger les anciennes erreurs et de s’assigner les objectifs de performance, d’efficacité, efficience des résultats.

La conclusion

Les résultats de notre étude montrent qu’avant la mise en œuvre des projets, les intervenants n’analysent pas le contexte et les contraintes et n’impliquent pas non plus les bénéficiaires dans les étapes du cycle des projets. L’aspect éthique n’est pas observé par toutes les parties prenantes : les bailleurs de Fonds, les responsables des ONG et les partenaires de mise en œuvre. Ceci fait que les solutions apportées par les intervenants ne répondent pas correctement aux besoins ressentis par les victimes.

De leur part, les gestionnaires présentent des insuffisances dans la gestion des projets et ne maîtrisent pas les mécanismes de gestion du capital social et économique. Les Activités Génératrices des Revenus mises en place ne sont pas suffisantes pour permettre la réinsertion socio économique des femmes victimes des violences sexuelles.

En bref, les projets pour la réinsertion socio – économique des femmes victimes des violences sexuelles dans la province du Sud – Kivu ne sont pas efficaces.
Les bailleurs des Fonds ne seraient – ils pas à la base de ces insuffisances.

Recommandations :  


1.    Aux bailleurs des Fonds et à ceux qui conçoivent des projets, d’analyser les contraintes et le contexte du milieu dans lequel ils envisagent intervenir ;

2.    Aux ONG d’exécution d’embaucher des gestionnaires compétents et qualifiés capables de gérer les ressources humaines, matérielles et financières. Suffisamment : des  psychologues, des sociologues, des techniciens de développement  rural,  des économistes,….;

3.     A toutes personne impliquée dans la mise en œuvre du projet, de respecter l’autonomie des bénéficiaires et de les impliquer dans toutes les étapes du cycle des projets. Les projets qui présentent  moins des difficultés sont ceux là dont les bénéficiaires se sentent impliqués.

Note : ce mémoire va être défendu à l’ULPGL très prochainement.

Cours  enseignés

1.    Economie  politique  destinés aux étudiants de Première année de graduant  en sciences commerciales et  financières

2.    Economie  politique  destinés aux étudiants de Première année de graduant  en  faculté des sciences économiques et de gestion

3.    Economie  politique  destinés aux étudiants de deuxième année de graduant  en sciences commerciales et  financières

4.    Economie  politique  destinés aux étudiants de deuxième année de graduant  en  faculté des sciences économiques et de gestion

5.    Les séminaires d’organisation  comptable et de gestion  financière en deuxième  graduat en sciences commerciales et  financières

III. EXPERIENCES  PROFESSIONNELLES
               
-       Stage de 30 jours ouvrables  au sein  de la SONAS Butembo 1998.
-       Stage  de 30 jours ouvrables  au sein  de la  Direction  Provinciale des impôts du Nord-Kivu  à Goma en  Septembre 2001.
-       Membre fondateur  et conseiller technique au Directeur  Administratif  et Financier du Centre  d’Appui aux  Laboratoires  Médicaux ‘’ CALME/ONGD’’ à Goma 1999-2010
-       Chef du Personnel et Chargé des  questions  fiscales au sein de l’Association  CALME 2003-2010.
-       Facilitateur de formation  en comptabilité et autres techniques de gestion des entreprises et asbl.
-       Assistant du Secrétaire Général Académique de l’institut supérieur de Commerce de Goma de 2004 jusqu’à 2010 (le  rôle est  celui du Directeur de Cabinet  du Secrétaire Général Académique  de l’ISC-Goma),
-        Directeur Adjoint des Groupes  Bibliques Universitaires de la province du Nord Kivu l’exercice 2006-2011.
-       Chef de Travaux à l’ISC-Goma.
-       Directeur  Général de l’Institut  Supérieur Pédagogique de Masereka et membre des Comités locaux de  développement     de 2006-2012
-       Membre Fondateur de l’Institut Supérieur des Techniques de Gestion des Affaires « ISTGA-Goma », depuis  2011  et Secrétaire Général Académique en fonction
-       Actuellement  Directeur Général  et Membre Fondateur de la société coopérative « EFEA-Goma », spécialisée dans l’énergie solaire renouvelable pour les gagnes petits, avec des ventes sous forme de microcrédit en lampes solaires. Le but est de réduire sensiblement l’usage des lampes tempêtes et autres source d’énergie polluantes.

IV.             AUDITS ET CONSULTANCES LES PLUS RECENTS

-       Elaboration de manuel de  procédures de gestion dans la société « Business and services company  BSC sprl » en février 2011.

-       Consultant  en gestion et comptabilité dans la société « Business and services company  BSC sprl » 2008-2011

-       Audits comptables au sein de la coopérative d’épargne et de crédit « LE BATISSEUR/GOMA » en septembre 2009

-       Travaux d’inventaire physique au sein de la quincaillerie centrale de Goma : Mars 2009

-       Audit comptable au sein de la coopérative d’épargne et de crédit « COOPEKI » en Février  2009

-         Audit comptable au sein de la coopérative d’épargne et de crédit «COOPECEDE/GOMA » en mai 2006

-        Elaboration de manuel de gestion et de la procédure  comptable des établissements « Privilège Goma » en octobre 2009. 

-       Elaboration de manuel de gestion et de la procédure  comptable de la « COOPEC SECRET / Vitsumbi» en novembre 2009.  

-         Elaboration de manuel de gestion et de la procédure  comptable de la Micro finances LBC « light in business crédit /Butembo »  en novembre 2009. 
                                          
 

V. CONNAISSANCE EN LANGUE ET AUTRES

-       Français: écrit et parlé.
-       Anglais écrit  et parlé (un peu)
-       Lingala
-       Kiswahili
-       Informatique (Word, Excel, Internet, SPSS, logiciel comptable).
-       Formateur  des formateurs en VIH/Sida  en milieux scolaires et universitaires.


samedi 20 septembre 2014

RDC: révision constitutionnelle?


Lambert Mendé: «Nous récusons les procès d'intention».
En RDC, le gouvernement condamne la prise de position des évêques. Jeudi sur RFI Monseigneur Fridolin Ambongo de la Conférence épiscopale nationale congolaise a réitéré son opposition à toute modification de la Constitution qui permettrait au président Joseph Kabila de se représenter. Les évêques s'inquiètent en particulier d'un éventuel déverrouillage de l'article 220 qui empêche toute révision du nombre de mandat présidentiel.
Anthony Lattier interroge Lambert Mendé, porte-parole du gouvernement congolais.
RFI : Sur RFI, jeudi, Monseigneur Fridolin Ambongo de la Conférence épiscopale des évêques, a déclaré qu’il était devenu clair que le gouvernement congolais voulait changer l’article 220 de la constitution. A t-il raison ? Le gouvernement va t-il modifier oui ou non cet article ?
Lambert Mendé : Je pense que le problème ne se pose pas pour nous en ces termes-là, parce que nous récusons des procès d’intention : le gouvernement va-t-il faire ? Nous nous gérons des choses qui sont advenues, concrètes. La question eut été : le gouvernement a-t-il introduit l’initiative ? Oui, nous avons introduit l’initiative de révision de la constitution, mais elle ne porte pas du tout sur ce dont Monseigneur Ambongo a parlé, l’article 220 de la constitution. L’initiative de la révision porte sur l’article 197 qui n’est pas du tout verrouillé par la constitution. Cet évêque essaie de jeter dans les esprits dans une confusion délibérée, on ne sait pas trop pourquoi, parce qu’il n’y a aucune initiative institutionnelle en ce qui concerne l’article 220 et nous déplorons cela.
Mais le gouvernement va-t-il respecter cet article 220 qui stipule notamment que certains points, en particulier la limitation des mandats, ne peuvent pas être discutés ?
La question ne se pose même pas pour nous parce que nous sommes un gouvernement comme vous l’avez dit. Nous aimerions être interpellés, jugés sur des actes que nous posons, pas sur des choses que nos adversaires politiques imaginent que nous allons poser. Demain ne m’appartient pas, demain n’appartient pas à Monseigneur Ambongo ou à qui que ce soit. Les initiatives de révision constitutionnelle sont reconnues au gouvernement bien sûr, mais pas au gouvernement seulement : il y a le président de la République qui peut prendre des initiatives, il y a 50 députés qui peuvent prendre des initiatives, 100 000 citoyens peuvent prendre des initiatives. Pourquoi la question se poserait au gouvernement seulement. Les évêques n’ont pas à venir ici ériger des tribunaux pour juger des intentions futures des uns et des autres. Cela nous le contestons et nous condamnons ces pratiques.
 
Vous dites procès d’intention mais il y a des déclarations politiques. Le porte-parole de la majorité présidentielle, par exemple, déclare que « La constitution de 2006 est dépassée, qu’il faut une nouvelle constitution dans notre République ». Alors le gouvernement a-t-il oui ou non l’intention de changer cette constitution ?
La majorité présidentielle est un rassemblement de partis… et à ma connaissance, les opinions sont libres en République Démocratique du Congo. Ce ne sont pas les évêques qui vont venir limiter la liberté des gens à émettre des opinions même sur l’article 220. Le problème c’est que l’on nous interpelle nous, nous institutions, sur des opinions qui sont émises par des personnes qui agissent en tant que fait privé.
La révision constitutionnelle est un débat que la majorité a elle-même ouvert, l’église participe à ce débat, alors pourquoi le gouvernement s’agace t-il de voir que ce débat intéresse une partie de la société civile ?
Nous sommes agacés lorsque l’on nous adresse des critiques sur des choses que nous n’avons pas entreprises : on s’adresse à nous en qualité de gouvernement, on met en cause le président de la République qui est une institution et qui n’a pris aucune initiative. Nous disons que la confusion des genres c’est une façon de mettre de l’huile sur le feu. Nous sommes encore un pays encore extrêmement fragile, et ce n’est pas de la part des évêques que nous pouvons attendre des pratiques qui peuvent aboutir à opposer les citoyens congolais à leurs institutions.
Nous nous rappelons que dans notre histoire, l’église catholique n’a pas toujours joué un rôle de qualité dans le processus historique qui nous a conduit à l’indépendance. Ils ont combattu Lumumba avec les même procès d’intention : c’était un dangereux communiste qui prendra vos femmes pour tout le monde, qui prendra vos biens pour tout le monde et on a vu ce qu’il est advenu de Patrice Lumumba ; nous ne voulons plus revivre cette expérience là.
Cela veut dire que l’église ne doit pas donner son avis sur la vie publique ?
Elle doit donner son avis mais pas avec des arguments d’autorité. Son avis ne doit pas être assaisonné de menaces d’apocalypse.
La conférence épiscopale a suspendu sa participation à un comité religieux pour suivre la préparation des élections aux côtés de la commission électorale, la Ceni. Est-ce que cela veut dire que le processus électoral est mis à mal ?
Je ne pense pas que le processus électoral ne dépende de la Conférence épiscopale nationale du Congo. La conférence épiscopale comme les partis politiques, vous avez cité la majorité présidentielle, ce ne sont que des faits privés. Et donc ces structures, que l’on a mis en place pour faciliter le travail de la commission, ne sont pas des structures qui sont légalement obligatoire.
Les Congolais attendent leur nouveau gouvernement depuis bientôt un an, vont-ils attendre encore longtemps, monsieur le Ministre ?
Je pense qu’il n’y en a plus pour très longtemps. S’il faut en croire les signaux qui partent de la présidence de la République, je ne pense pas que l’attente puisse durer très longtemps.
Un nouveau gouvernement dans les prochains jours ? Dans les prochaines semaines ?
Je pense dans les prochains jours, dans les prochaines semaines, le gouvernement sera annoncé. Nous ne savons pas de quoi il sera composé, le président seul tient le secret de sa composition.
Je me pose la question de savoir pourquoi tout le monde est agite par le terme ''révision constitutionnelle''?
Est ce pour chercher a tiré la couverture de son coté?
c'est pourquoi l'on dit: 

« Le pouvoir est l’aphrodisiaque suprême.  »

de Henry Kissinger